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Avis de Recrutement d’Un National Projet Officer (IBM)

Créée en 1951, l’OIM est l’organisation intergouvernementale de premier plan dans le domaine des migrations et travaille en étroite collaboration avec des partenaires gouvernementaux, intergouvernementaux et non gouvernementaux. L’OIM s’emploie à promouvoir une migration humaine et ordonnée au profit de tous. Elle le fait en fournissant des services et des conseils aux gouvernements et aux migrants.

L’OIM s’engage en faveur d’un environnement de travail diversifié et inclusif. Les candidatures externes et internes sont acceptées pour ce poste. Dans le cadre de cet avis de vacance, les candidatures internes sont considérées comme prioritaires.

Contexte :

Dans le cadre du projet national sur la gestion des frontières, l’OIM Guinee est à la recherche d’un National Projet Officer (IBM). L’objectif global du projet est de renforcer les capacités des autorités nationales en charge de la sécurité et des communautés frontalières avec le Mali, Guinee Bissau et la Cote D`ivoire, d’échanger des informations et de coopérer pour renforcer les capacités gouvernementales dans la lutte contre les crimes transfrontaliers et dans la gestion intégrée des frontalières.

Dans le cadre de la poursuite de son programme de gestion des migrations, l’OIM met en œuvre un projet de renforcement des capacités du gouvernement de la république de Guinée sur la gestion intégrée des frontières (IBM) en collaboration avec l’Agence Coréenne de Coopération Internationale (KOIKA) de personnes et de biens. Pour limiter l’expansion de la criminalité transnationale et lutter contre le trafic le long de ses frontières, la République de Guinée coopère dans toute la mesure du possible avec les pays voisins pour relever les défis communs en matière de sécurité à la frontière. Toutefois, le manque de capacités des services à gérer correctement les frontières reste un défi majeur en raison de la faiblesse des systèmes de contrôle des frontières en place et de la limitation des infrastructures de base, des équipements de communication et des ressources humaines.  En outre, le manque de données collectées et exploitées par les autorités guinéennes aux principaux points de passage frontaliers reste un défi et, pour la même région, les trafics et contrebandes illicites aux postes de contrôle frontaliers restent difficiles à prévenir et à détecter.

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